Sacoche à courrier


Cette pièce est visible dans la salle 14-18.

Mise à jour mars 2023.


Boussole bracelet


Cette pièce est visible dans la salle Allemagne.
Mise à jour février 2023.


Siège d’avion

Siège d’un avion allemand JU87 Stuka. La personne s’asseyait sur son parachute.
La plaque nous apprend l’identité du fabriquant .
Martin Schmittner était un inventeur de siège pour parachutes. Usine à « Rosenthal » République tchèque). vestellsitz – siège ajustable
DRP – Dépôt de brevet (Deutsche Reich Patent). (Info Gilles Collaveri)


Cette pièce est visible dans la salle Allemagne.
Mise à jour janvier 2023.


Artisanat de tranchée

Bel exemple d’artisanat de tranchée. Le dessous du plateau est réalisé avec une douille d’obus aplatie. Le bord et l’anse proviennent de ceintures d’obus.


Cette pièce est visible dans la salle 14-18.
Mise à jour décembre 2022.


Mine indétectable

Ce récipient en verre recevait la charge explosive et n’était pas repéré par les détecteurs de métaux. Utlisé par l’armée allemande en 1939-1945.


Cette pièce est visible dans la salle Allemagne.
Mise à jour novembre 2022.


Lampe Orylux

Lampe à piles The Orilux JH Steward London avec son étui.
Cette lampe était utilisée par les officiers anglais durant la 1ère guerre mondiale.


Cette pièce est visible dans la salle 14-18 .

Mise à jour octobre 2022.


Crécelle d’alerte aux gaz

Les gaz toxiques ont été utilisés pour la première fois par les allemands, en avril 1915 à Ypres. Très vite, les armées ont fabriqué des masques, mais il fallait aussi que les soldats soient prévenus au plus vite.
Différents moyens d’alertes ont donc vu le jour, allant de la sirène à la cloche d’église récupérée en passant par la douille d’obus frappée à l’aide d’un bâton, ou encore la crécelle. Cette dernière présentait de nombreux avantages : légère, portable, bon marché et facile à fabriquer.

Cette pièce est visible dans la salle 14-18 .
Mise à jour septembre 2022.


Médaille souvenir 1914

Cette médaille à la mémoire de Marcel Viciot Mort pour la France en 1917 a été offerte par le Crédit Lyonnais a sa famille.
Employé de banque, Marcel Viciot habitant Vincennes, était soldat au 106 ème Bataillon de Chasseurs. Il a été tué au Mont des Singes secteur de  Vauxaillon dans l’Aisne en octobre 1917.

Cette pièce est visible dans la salle 14-18 .
Mise à jour août 2022.


Canne sculptée

Canne en buis sculptée marquée « Segui mai 1941 ».
Nous pensons que cette canne a appartenu à un membre des Chantiers de Jeunesse.

Cette pièce est visible dans la salle du régime de Vichy .
Mise à jour juillet 2022.


Panneau souvenir de Rawa-Ruska

Le camp de Rawa-Ruska aujourd’hui en territoire Ukrainien a été auparavant territoire polonais ou soviétique.
En , un camp de représailles, le Stalag 325, y fut créé pour des prisonniers de guerre français et belges.


Cette pièce est visible dans la salle Allemande, partie déportation .
Mise à jour juin 2022.


Récipient transport de sang.

Container américain isotherme à 3 plateaux intérieurs pour le transport et la conservation du sang .
Cette pièce est visible dans la salle Alliés 39-45 .
Mise à jour mai 2022.


Fusil pour les scolaires.

La loi du 28 mars 1882 met les exercices militaires au nombre des matières d’enseignement des écoles publiques de garçons. Pour cela on fait fabriquer des fusils en bois, répliques des armes des soldats. Les élèves des écoles primaires sont entraînés à marcher au pas et à simuler des tirs et des combats. Le modèle de fusil ci-dessous a été fabriqué par l’usine Combier de Valence dans la Drôme (don de Laurent Bosc) .

Cette pièce est visible dans la salle 14-18 .
Mise à jour avril 2022.


Bouillotte.

Les douilles d’obus étaient nombreuses au pied des batteries de canons. Les soldats avaient là la matière pour confectionner toutes sortes d’objets de décoration ou utiles. Parmi ces derniers, les bouillottes, indispensables pour amener avec soi un peu de chaleur après avoir fait bouillir de l’eau.

Cette pièce est visible dans la salle 14-18 .
Mise à jour mars 2022.


Premier masque à gaz.

Les allemands utilisent pour la première fois les gaz de combat le 22 avril 1915 dans la région d’Ypres. Ils avaient préalablement imaginé une protection à base d’un baillon sur lequel on déversait une solution d’hyposulfite destinée à neutraliser le gaz à base de chlore.
Le baillon ci-dessous avec le flacon d’hyposulfite est donc le premier masque à gaz.
Très rapidement des masques englobant le visage et les yeux seront mis au point.

Cette pièce est visible dans la salle 14-18 vitrine Allemagne.
Mise à jour février 2022.


Médaille Compagnon de la Libération.

Cette médaille dite de table accordée aux Compagnons de la Libération est rare.
Seules 1038 personnes, 18 unités combattantes et 5 communes (Paris, Ile de Sein, Nantes, Grenoble, Vassieux en Vercors) figurent à l’ordre des Compagnons de la Libération.
Cette médaille est celle de Gaston Vedel, né à Carmaux en 1899 et décédé en 1993 à St Paul Cap de Joux dont il fut maire. Elle est marquée de son nom sur la tranche.
Le dernier Compagnon de la Libération est décédé en 2021, c’était Hubert Germain et il avait 99 ans.

 Cette pièce est visible dans la salle de la Résistance
Vitrine Général de Gaulle.

Mise à jour janvier 2022.


Tire-bottes.

Ce banal tire-bottes peut également devenir un outil redoutable pour dégonder les portes, comme le montrent l’illustration et le texte gravés dessus.


 Cette pièce est visible dans la salle Allemagne.
Mise à jour décembre 2021.


Appareil photo Thornton-Picard.

Cet appareil photo à plaques de verre , utilisé en 1914 est ici exposé avec le pied et sa caisse de rangement.
Thornton-Pickard était un fabricant britannique d’appareils photo bien connu créé en 1888. L’entreprise était basée à Altrincham, près de Manchester, et il a été l’un des premiers pionniers dans le développement de l’industrie de la caméra.


 Cette pièce est visible dans la salle 14-18.
Mise à jour novembre 2021.


Brassard de démobilisé de 1940.

Après l’armistice de juin 1940, les soldats français sont soit faits prisonniers soit démobilisés. Lors du passage au bureau de démobilisation et après avoir été rayés des cadres, il leur est remis un brassard identique à celui-ci avec le tampon de l’autorité militaire. Ce brassard atteste qu’ils ne sont plus soldats. S’ils rencontrent des allemands ils seront considérés comme civils. Dans le cas où ils n’auraient pas ce brassard ils seraient considérés comme militaires et faits prisonniers.


 Cette pièce est visible dans la salle Résistance.
Mise à jour octobre 2021.


Tenue de sortie d’officier 1931.

Tunique modèle 1931 de la tenue de sortie d’un capitaine du 56ème régiment d’ artillerie.
Selon certains l’expression « se mettre sur son 31 » pourrait venir de là.


 Cette pièce est visible dans le couloir d’accès à la salle 39-45.
Mise à jour septembre 2021.


Cafetière officier 1914-1918

Cafetière de campagne en fer étamé d’officier de la 1ère guerre mondiale.


 Cette pièce est visible dans la salle 14-18.
Mise à jour août 2021.


Cloche d’alerte aux gaz

Cette cloche fabriquée avec une douille de canon de 75 peinte en rouge, servait à donner l’alerte aux soldats en cas d’attaque aux gaz. Chacun devait alors s’équiper du masque à gaz.


 Cette pièce est visible dans la salle 14-18.
Mise à jour juillet 2021.


Aiguille de boussole

Cette petite aiguille de boussole pouvant flotter dans un verre d’eau était destinée à être cachée par les prisonniers candidats à l’évasion.  Elle a probablement appartenu à un membre du maquis du Sidobre.


 Cette pièce est visible dans la salle Résistance – Vitrine Sidobre.
Mise à jour juin 2021.


Torpilles de crapouillots fabriquées à Castres

Les crapouillots étaient des mortiers de tranchée à tir oblique pour atteindre les tranchées ennemies depuis les tranchées françaises. Ils tirent leur nom de leur forme « ramassée » pour contenir dans la tranchée, forme rappelant un crapaud. On appelait aussi crapouillot les munitions (torpilles). Castres avait l’exclusivité de la fabrication et du chargement de ces torpilles ce qui générait une instance activité pour la poudrerie et la gare de cette ville.
(Les allemands avaient des armes et munitions semblables : les minenwerfer.)


 Ces pièces sont visibles dans la salle 14-18.
Mise à jour mai 2021.


Uniforme médecin allemand

Tenue de sortie de l’officier médecin de la garnison allemande de Castres durant l’occupation. (Don de Odile et Guy de Rouville).
A Castres, les troupes allemandes occupaient les casernes Drouot, Lardaillé et Laden. La Kommandatur était installée au Grand Hôtel, le Foyer du Soldat (Deutsche Soldatenheim) au Musée Briguidoul et l’office de placement (Deutsche Werbestelle) à l’Hôtel de Ville.
Lors de sa reddition en août 1944, les troupes allemandes de Castres représentaient 4000 hommes dont 70 officiers.


 Cette pièce est visible dans la salle allemande 2ème guerre mondiale.
Mise à jour avril 2021.


Brassard de cycliste

Les troupes cyclistes avaient un insigne identique cousu sur la veste. Ce brassard était destiné à identifier les soldats affectés temporairement à ces missions d’agent de liaison à bicyclette. C’est surtout dans les périodes de guerre de mouvement (1914 et 1918) que ces moyens de transport de messages ont été utilisés.


 Cette pièce est visible dans la salle 14-18.
Mise à jour mars 2021.


Grenade cuillère

Grenade P1 française de la 1ère Guerre Mondiale. Grenade mythique.
Le bras d’armement servait de cuillère aux soldats dans les tranchées, et ce nom est resté pour toutes les grenades.


 Cette pièce est visible dans la vitrine grenades de la salle 14-18.
Mise à jour février 2021.


Stirnpanzer

Cette protection blindée pour casque a été mise au point par l’armée allemande durant la première guerre mondiale. Réalisée en acier de 4 mm d’épaisseur elle pèse plus de 2 kilos.


 Cette pièce est visible dans la  salle 14-18.
Mise à jour janvier 2021.